sábado, 30 de julio de 2022

Exemple de la décadence de la langue française

On était dans un terrible meeting de coworking au bureau de marketing. Je n'avais pas de feeling avec la femme qui portait un legging, donc j'ai mis le swing pendant le débriefing en faisant avant un peu de brainstorming. Ensuite, je suis allé au ring pour faire du kickboxing et j'ai fini avec des simples exercices de stretching. À la fin, je suis retourné chez moi pour faire du cocooning et j'ai commandé un burger à Burger King. C'était cool ! 


En collaboration avec Elisabetta Formenton

martes, 31 de mayo de 2022

"Les guerres sont absolument nécessaires." Que pensez-vous de cette affirmation ?

"Les guerres sont absolument nécessaires."


    En répondant à cette affirmation, on pourrait même le faire avec la propre structure « non, les guerres ne sont absolument pas nécessaires ». Cependant, il nous reste encore la suivante question « et pourquoi ont-elles toujours existé ? », et c’est là où on trouve la problématique de l’affirmation qu’on ne sait pas répondre. 

    La guerre n'est pas le combat des gentils contre les méchants, ni des héros contre les lâches, plutôt des millions de marionnettes gérés par quatre mains impitoyables, cruelles et égoïstes qui s’amusent avec le pouvoir. Certes, elles existeront toujours, car l'être humain est toujours assoiffé de pouvoir depuis le début de l’histoire, mais aucun être humain ne voudrait jamais les subir. C’est l’une des raisons pour lesquelles l’Union européenne a été créée et c'est pourquoi l'Europe ne veut plus de conflits sur son territoire. Malheureusement, il y a des moments où si elle t’attaque sans raison, il faut traiter la guerre comme à la guerre, sans merci.

jueves, 24 de diciembre de 2020

la méfiance à l'égard des médias est-elle justifiée ?

 "la méfiance à l'égard des médias est-elle justifiée ?"

De nos jours, les médias sont dans la ligne de mire de la société actuelle, spécialement les médias traditionnels, qui ont été surpassés par les « nouveaux médias », c’est-à-dire les réseaux sociaux.  Une tendance qui a provoqué une rupture entre les jeunes générations et les médias télévisés traditionnels, et qui a même questionné sa propre véracité. Mais cette méfiance, est-elle justifiée ou est-ce simplement que la société évolue et que les médias traditionnels ne se sont pas adaptés ?

De mon point de vue, je me suis rendu compte que chaque fois que je regarde les actualités télévisées avec mes parents, il y a seulement un point de vue possible selon la chaîne que tu as choisi. Même à la télévision publique, les nouvelles qui sont données ont une idéologie très claire selon le parti qui est au gouvernement. En plus, les journalistes de ce type de médias ne peuvent rien dire qui va à l’encontre de l’idéologie de la chaîne sinon ils seront relégués et même licenciée si nécessaire. 

À cela s’ajoute que des nombreux « nouveaux médias » vérifient les informations qui sont donnés par les médias traditionnels en démontrant sa manipulation. Par exemple en Espagne, il y a des comptes sur Twitter comme Maldito Bulo ou Mejores Zasca ! qui font du fact-checking à toutes les informations publiées dans tous les médias (traditionnels et non-traditionnels) d’une manière indépendante, parce qu’il s’agit de sites à but non lucratif et non partisan d’aucun parti politique.

Juste pour conclure, je considère que même si chacun a sa propre idéologie politique et ne voit donc que les médias liés à son idéologie, je lui dirais d’être plus ouvert d’esprit et de vérifier les informations qu’il ou elle peut lire ou regarder.


lunes, 30 de noviembre de 2020

La nouvelle émission de télé réalité russe où l’on pourrait << tuer et violer>> fait polémique.

La nouvelle émission de télé réalité russe où l’on pourrait << tuer et violer>> fait polémique.

Link de la nouvelle ---> https://www.ladepeche.fr/article/2016/12/16/2480447-nouvelle-emission-telerealite-russe-peut-tuer-violer-fait-debat.html


               Avant de commencer, je dirai seulement que cela n’aurait pu avoir lieu qu’en Russie. Je me demande parfois si la Vodka peut affecter le cerveau pour genre d’idées ou si l’URSS était aussi mauvaise qu’on dit. Cette nouvelle émission de télé réalité qui vient d’être annoncée là-bas présente une série de problèmes qui me donnent la chair de poule.

            Tout d’abord, il faut tenir en compte que même si c’est de la télé réalité, on parle de personnes réelles, on ne sait pas si elles ont été expulsées de ses maisons ou si elles venaient d’être en prison et elles n’avaient pas d’argent pour survivre. Mais ce sont des êtres humains avec une certaine dignité pour se tuer comme des sauvages. Toutefois, s’il est vrai que chacun fait ce qu’il veut avec sa vie, à mon avis, il y a des limites et un de ces limites est ce programme.

            En plus, on a aussi le problème de l’emplacement, car le test ne se fera pas sur une plage des Caraïbes. Je serais mort de peur rien que de penser que je devrais survivre en ‘pleine nature’ en Sibérie, où il y avait des camps de concentration pendant la Seconde Guerre mondial. D’autre part, les températures seront également affreuses, -40 degrés pendant 9 mois, ou tu es un esquimau ou tu es devenu fou.

            Cependant, ce qui m’a vraiment foutu les pétoches, c’est la partie dans laquelle ils disent que tout est permis, même les meurtres et les viols. Dans mon pays, ça serait un scandale, même si cette émission est diffusée à des heures où les enfants ne peuvent pas la regarder et même en tenant en compte que tous les candidats ont signé un formulaire où ils reconnaissent qu’ils peuvent être violés ou assassinés.

            Enfin, juste pour finir je recommanderais de ne pas voir cette émission, sauf si vous êtes dans une maison de fous attaché à un lit avec des menottes et c’est votre quotidien.

martes, 11 de septiembre de 2018

Imaginez les conséquences positives et négatives liées à la perte d’un sens.

Imaginez les conséquences positives et négatives liées à la perte d’un sens.

La perte d’un de nos sens est toujours un événement tragique dans nos vies, parce que nos sens font partie essentielle de notre vie quotidienne et on a toujours besoin de les utiliser. Or, si un jour on perd un de nos sens, que se passerait-il ? Aurait-on des conséquences positives ou négatives ?

À mon avis tout d’abord, on devrait  penser à l’importance de nos cinq sens, cela veut dire, que ce n’est pas la même chose perdre le sens de la vue que perdre le sens du toucher, car on peut  vivre sans la vue, mais sans le toucher on pourrait mourir plus tôt : en brûlant une de nos mains ou en nous coupant une partie de nos corps. En deuxième lieu, je suppose qu’on devrait voir les installations qu’il y a pour les personnes qui perdent un de leurs sens. Parfois, quand on est en ville, il y a des installations spéciales pour les aveugles, sourdes…, mais malheureusement, je n’ai jamais vu autres facilités pour d’autres personnes qui ont perdu en de leurs sens.

Cependant, on ne peut jamais choisir quel sens on va perdre, et c’est pour cette raison que ces personnes doivent coexister avec les conséquences d’être aveugles, sourds… Je considère qu’on connaît déjà les mauvaises conséquences. Mais, il y a des fois où on ne connaît pas les avantages de la perte d’un de nos sens. Par exemple, si on est aveugle, selon une étude scientifique, on développera davantage le sens de l’ouïe et de l’odorat. Et au contraire si on est sourd, on développera plus les sens de l’odorat ou la vue (en plus si vous êtes marié, vous saurez toujours que vous n’écouterez jamais votre belle-mère ou beau-père). Si on perd le sens de l’odorat ou goût, on ne sentira jamais les mauvaises odeurs ou saveurs. Et finalement, si on perd le sens du toucher, on ne souffrira jamais de douleur d’une opération chirurgicale.

jueves, 11 de agosto de 2016

BUBIÓN (Las Alpujarras, Grenade)

BUBIÓN (Las Alpujarras, Grenade) 

Une histoire surréaliste...

Les montagnes grenadines se sont levées très tôt et elles bâillent encore paresseusement. Mais, les premiers randonneurs s’assomment sur leur dos, et veulent atteindre l’autre versant pour se réchauffer dans leur ventre, donc elles doivent se préparer vite.

Un peu plus bas, des petites gouttes apparaissent. Elles se transforment en petits ruisseaux et après en une grande rivière. Elles courent très vite mais, si vous êtes rapide vous pouvez les attraper avant qu’elles ne partent.

À droite c’est ma maison, très pâle parce qu’elle n’aime pas le soleil, c’est la raison pour laquelle il y a deux cerisiers qui la protègent jour et nuit. Pourtant, ma maison est très belle, et fraiche à l’intérieur. La seule chose que je n’aime pas  vraiment d’elle, c’est qu’elle fume pendant la nuit, surtout en hiver.

À gauche c’est mon petit village, il s’appelle Bubión, ce n’est pas un grand village et il n’est populaire non plus, par contre il sourit toujours à tous ses habitants. En plus, pour son anniversaire on fait une immense paella pour le remercier pour tout ce qu’il a fait pour nous et cela nous donne de la chance pendant toute l’année.

Mon village est comme ma famille et je l’aime autant que ses habitants.

Bubión.

lunes, 8 de agosto de 2016

Mon rapport à la consommation.

Mon rapport à la consommation.


Avant de commencer à parler de ce sujet on doit savoir ce que c'est la consommation. Consommer est pour chacun une activité de tous les jours, qui consiste à satisfaire certains besoins et désirs. Pour les économistes, c’est l’utilisation des biens et des services selon une répartition et des modalités qui varient en fonction d’un certain nombre de facteurs (capacités d’épargne, volonté d’investissement…), selon une définition du Larousse. Mais, quel est notre type de consommation ? Si on consomme plus, est-on plus heureux ? Qu’est-ce que c’est l’obsolescence programmée ?

Il y a beaucoup de types de consommateurs dans le monde, mais on peut les diviser en deux grands groupes. Le premier groupe est composé de ceux qui peuvent vivre avec peu et qui préfèrent vivre à la campagne dans une caravane  et avec un petit jardin. Le second groupe est composé de ceux qui veulent avoir un téléphone portable dernier cri, la meilleure voiture ou vivre dans une grande maison.

Les deux modes de vie sont autant de respectables, mais elles génèrent des problèmes. D’un côté, on a ceux qui aiment vivre seulement avec l’essentiel, sans dépenser beaucoup, mais leur problème est qu’ils ne contribuent pas au système public, parce qu’ils ne payent pas normalement leurs taxes et ils ne gagnent pas autant que ceux qui travaillent dans le système. D’un autre côté on a les consommateurs compulsifs qui consomment et dépensent beaucoup. C’est vrai qu’ils contribuent normalement au système public et ils payent toutes leurs taxes (quelques fois non, c'est pour cela qu’il y a de la corruption), par contre ils consomment plus qu’ils n’en ont besoin et ils aident les fabricants à créer l’obsolescence programmée, c’est-à-dire  « faire des produits qui durent moins et sont de moins qualité pour vendre plus».



À mon avis je ne suis pas un consommateur très compulsif (même si je ne pourrais pas vivre dans une caravane à la campagne sans rien). Ainsi, mon père m’a acheté mon portable quand j’avais dix-huit ans et je n’avais aucun problème pour sortir avec mes amis ou parler avec eux en dehors du lycée. De plus, je crois que j’avais plus de temps pour faire les choses que maintenant, parce que je n’avais pas besoin d’être attentif au cas où quelqu’un me parlerait par WhatsApp (comme maintenant). En conclusion, on devrait vivre avec ce dont on a vraiment besoin pour être satisfait et à l’aise, sans penser à avoir un meilleur ordinateur ou portable plus bon, si on a déjà un.